Les médias poursuivent leur désinformation

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Suite à la diffusion d'émissions de télévision le mercredi quatre octobre 2006 sur les chaines généralistes francophone belge RTL-TVI et RTBF. Vous trouverez ci-aprés le courrier que notre association a adréssé à ces deux sociétés. Les propos tenus par les journalistes sont non seulement non démontré, mais de plus à aucun moment le nom de la responsable de ce gachis à savoir Madame Onkelinx n'est cité alors qu'habituellement ces journaux sont une tribune largement ouverte à cette dame.

 

Messieurs,

Concerne : journal télévisé de ce midi, 4 octobre 2006 sur TV1. Reportage sur la chute verticale des ventes d’armes légales en Belgique. 

Nous sommes très étonnés des commentaires du présentateur du journal télévisé quand il nous annonce fièrement que les effets de la nouvelle loi sur les armes sont « positifs ». En effet, jusqu’à ce jour aucun effet positif ne s’est fait ressentir, surtout qu’il n’y avait pas d’effets négatifs causés par la détention légale d’armes par des particuliers honnêtes avant la loi, à l’exception d’un fait exceptionnel. Si la ruine des armuriers et l’expropriation de fait, par la perte de valeur et l’obligation de se défaire d’un objet qui ne représente aucun danger dans les mains de centaines de milliers de détenteurs d’armes, personnes honorables et obéissantes aux lois, est considéré comme effet « positif » nous pensons pouvoir affirmer que l’expression et l’attitude de la présentation sont cyniques.

La suite du commentaire qui nous apprend que cette situation est « tout bénéfice pour la sécurité » est malheureusement dans le même ordre de cynisme au vu du nombre de personnes qui ont été tuées par strangulation, par l’utilisation de couteaux, par armes à feu illégales et par d’autres moyens. 

Cette loi a retenue une grande partie des efforts des polices, qui en cherchant à appliquer cette loi inutile, ont du retirer du personnel du travail effectif prévu aux polices, notamment : la répression de la criminalité.

L’attitude des média est décevante par son manque d’esprit critique et de réalisme. Il est très dommage que les nouvelles soient transmises dans un esprit de préjugés sans fonds et sous la pression d’idéologies utopiques.

Une vérification des statistiques officielles et l’observation de la réalité, surtout que vous êtes aux premières loges pour vérifier les actualités, devraient vous faire prendre conscience que les affirmations émises dans ce journal télévisé sont de pure fantaisie et dangereuses pour la société.

Il est très étonnant que les arguments des associations de détenteurs d’armes ne soient jamais transmises ni prises en considération.

Nous nous tenons à votre disposition pour vous donner des données officielles et contrôlées sur les effets de la détention légale d’armes chez les particuliers honorables comparés à la détention d’armes par les criminels. 

Le 8 octobre vous avez l'opportunité de faire entendre votre opposition aux gens qui ont soutenus la loi Onkelinx.

 

SALUTATIONS AMICALES


DANIEL BEETS

 

 

 

Evaluation de la législation

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Après plus de 3 mois de mise en application de la nouvelle loi sur les armes il ressort que plusieurs problèmes ont surgi et rendent son exécution excessivement difficile, non seulement sur la forme, la procédure, mais également sur le fond.


1) Sur la procédure :
-- A cause des défauts et du manque de clarté dans la nouvelle loi sur les armes, le ministère ne peut informer les instances concernées de la marche exacte et correcte à suivre ce qui mène, actuellement, à diverses interprétations, non seulement de la part des gouverneurs, mais également de la part de certaines zones de police. L’uniformité et la simplification convoitées ne sont absolument pas atteintes. Bien au contraire.
Certaines mesures, parfois même illégales, comme la confiscation provisoire des armes non justifiée pendant la période de la régularisation du dossier, mettent la sécurité publique en danger par les risques de stockage d’un trop grand nombre d’armes dans des endroits qui ne sont pas suffisamment sécurisés, comme c’est le cas de certains commissariats de police. (voir les statistiques des vols dans les commissariats)

 

La complexité de la loi qui se voulait simplifiante et la lourdeur de la procédure mènent à des frais et des investissements administratifs aussi bien en personnel qu’en infrastructure qui ne sont pas justifiables quand au résultat d’amélioration de la sécurité publique. Alors que d’un autre côté divers services, faisant partie du système judiciaire et qui combattent effectivement la criminalité, manquent de moyens aussi bien en personnel qu’en matériel pour mener à bien leur lourde tâche de combattre cette criminalité incessante qui frappe la population.

 

2) Sur le fond :
-- Cette loi ne touche que les personnes qui étaient déjà en ordre avec la loi, des personnes honorables et obéissantes aux lois existantes. Aucune mesure concrète pour la lutte contre la criminalité armée et la prolifération d’armes illégales dans le milieu criminel, ni contre l’utilisation d’armes légales ou illégales dans des actions criminelles n’est prévue. 

-- Fallait-il décider de déposséder des centaines de milliers de gens honnêtes de leur bien, de leur souvenir, d’une partie de leur histoire ou d’une partie de leur patrimoine familial et qui sont pacifiques et obéissants aux lois en vigueur parce qu’une personne psychologiquement instable avait profité d’une faille (ou d’une liberté) dans la loi précédente pour commettre ses crimes horribles ?

 

 

La communauté paie très cher et injustement pour l’abus d’un seul criminel. Nous sommes conscients que des précautions doivent être prises pour maintenir la sécurité publique. Mais également que ces précautions, ces mesures préventives, doivent rester en rapport avec le danger visé, en corrélation avec les droits et les valeurs démocratiques qui sont de vigueur dans notre société et en concertation avec toutes les parties concernées.

 

Au vu de ce qui précède nous voulons demander de revoir certains articles de cette nouvelle loi sur les armes et de prendre en examen la modification des points suivants:

1) La suppression de l’article 32. Donc la suppression de la révision des autorisations et des agréments tous les 5 ou tous les 7 ans, qui est une mesure superflue et puisque les gouverneurs ont déjà la possibilité de retirer les autorisations de détention et les agréments pour des raisons de sécurité publique. Cette règle totalement inutile, inutilement coûteuse pour la collectivité et une taxation injuste des détenteurs d’armes, enlève toute la sécurité juridique nécessaire pour instaurer la confiance des citoyens, ce qui en complément d’une réglementation trop restrictive sur les motifs légitimes pour la détention, mèneront à l’augmentation du marché illégal.

2) L’extension de l’article 11 par le motif légitime de la détention d’armes sans munitions. Cette extension permettra de restaurer les pleins droits de la propriété privée, ce qui donnera de cette manière également la possibilité aux détenteurs d’armes de conserver leurs armes qu’ils ont utilisées pendant leur période d’activité comme tireurs, chasseurs ou collectionneurs etc… et de transférer leur patrimoine en toute sécurité et en toute légalité à leurs descendants ou à des tiers chers. Point très important vu la valeur intrinsèque, historiquement familiale et sentimentale de biens qui par la qualification « sans munition » peuvent rester dans la légalité et dans un cadre de confiance entre le citoyen et ses élus.

3) La suppression du § 1, 17° dans l’article 3 qui risque de prêter à toutes formes d’abus pour le transport de n’importe quel objet dans n’importe quelle circonstance.

4) La simplification et l’uniformisation des conditions d’obtention d’une autorisation de détention, dans le respect des nécessités pour préserver la sécurité publique. Car actuellement ces conditions sont différentes suivant les provinces où les demandes sont introduites.

Cette loi, dans sa conception actuelle, qui touche durement la population honorable, n’a pas, finalement, la capacité d’augmenter la sécurité de la communauté comme il a été très clairement démontré dans les pays où des lois similaires ont été mises en application. 
Nous attirons également l’attention sur les nombreux crimes qui continuent à être commis à l’aide d’armes à feu illégales et par d’autres moyens qui tombent en dehors de la loi sur les armes, reflétant un malaise de société important qui mérite toute l’attention nécessaire pour sa résolution.
SALUTATIONS AMICALES


DANIEL BEETS

 

 

 

La gauche comme de coutume.

Rédigé par Eric 4 commentaires
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Cet extrait d'article montre la sortie d'un homme politique Suisse sur la détention d'armes à feu, réagissant à la publication d'une "étude" recommandant une diminution du droit des propriétaires d'armes et même des miliciens à encore détenir leurs armes chez eux.

Arme de service à domicile: Samuel Schmid défend le principe

Samuel Schmid estime que les soldats suisses doivent continuer à pouvoir amener leur arme de service à domicile. Malgré un taux de suicide élevé avec les armes à feu en Suisse, le ministre de la défense ne souhaite pas changer la pratique en vigueur.

L'armée n'est pas responsable des maux de la société, a déclaré M. Schmid dans un entretien publié dans le "Tages-Anzeiger". Le nombre élevé de suicides enregistré doit se combattre à la racine: au bout du compte, chaque membre de la société porte une part de responsabilité, selon lui.

Le conseiller fédéral réagissait à une étude de l'Université de Zurich publiée mardi, selon laquelle chaque jour, une personne met volontairement fin à ses jours avec une arme à feu en Suisse. Pour les auteurs de l'étude, ce bilan pourrait être amélioré si l'on mettait en place des règles plus strictes en matière de détention d'armes.

Le conseil fédéral va prendre connaissance de l'étude et la confronter avec les données internes de l'armée, a indiqué M. Schmid. Pour le gouvernement, il est important, dans la mesure du possible, de lutter contre la mauvaise utilisation des armes dans les domaines civils et militaires.

L'entreposage des armes ne permettrait pas de résoudre le problème du suicide, selon de chef du Département fédéral de la Défense. Un homme suicidaire n'a pas malheureusement besoin de son arme de service pour se donner la mort, a-t-il expliqué.

Non cantonnée dans des casernes, l'armée de milice ne peut pas être engagée immédiatement si la situation sécuritaire l'exige, a-t-il encore rappelé. En cas de dégradation, il est important que le soldat de milice puisse rapidement accéder à son arme, afin d'être le plus rapidement possible opérationnel.

La Suisse compte deux millions d'armes à feu en circulation. Amnesty International, la gauche et des spécialistes de la prévention du suicide et de la violence souhaitent que la révision en cours de la loi sur les armes prenne un tour plus sévère. 

Cet article illustre que le combat pour nos droits est un combat internationnale autant que nationale et pour ceux qui maitrise l'anglais , je ne saurais trop leur recommander de lire ou de relire le livre de W. Lapierre "the global war on your guns!" Ben Laden et les Islamistes ne sont pas la seule menace qui pèse sur notre qualité de vie, la vision gauchiste de ce que devrait être le rapport de l'hommos occidentalus à l'état est tout aussi inquiétant.

Eric

 

 

Réquiem pour le tir gendarme.

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Un petit peu d'histoire!

Les formes de tir ludiques ont toujours été ma passion. Faire tirer les gens avec des armes qui a priori ont plutôt été conçues pour la protection ou le combat que pour la compétition m'a toujours paru plus attractif que l'utilisation d'une arme spécifiquement dédiée au sport. Je trace souvent une analogie entre le tir et l'automobile à ce niveau, il y a les adeptes de la F1 ou des sports protos, moi je serais plutôt course de cote, rallye d'ancêtre ou caisse à savon.

Evidement, qui se ressemble.....


S'assemble, et un beau jour de printemps en 1990 dans un stand de la région de tournai, nous voyons débarquer un ami, aujourd'hui décédé, affublè d'un képi de gendarme et qui nous présente un FN 1910 en nous disant tout est d'époque. Grosse rigolade et de la rigolade découle une idée simple, faire un concours annuel sur la base des armes de services utilisées à la gendarmerie. L'idée fait son chemin et à l'automne de la même année un concours sur ce thème est organisé. Une floppée de 1910, autant de Képis (puisque nous avions imposé le port du couvre-chef, au final 30 participants enchantés d'avoir pu passer une bonne Aprés midi et d'avoir pu tirer avec ces petites armes qui sont loin d'avoir un rendement aussi médiocre que leur aspect laisse à penser.

 

 

 

Une coupe qui va tourner pendant 16 ans!

 

L'organisation du concours connut des fortunes diverses. Plus ou moins de participants selon les années, parfois pas d'organisateur ou de stand pour organiser le tir, mais au final une belle aventure avec des fous rires, des souvenirs et des soirées longues, car à partir de 1995 nous avions décidé de prélever un droit de participation qui équivalait au prix d'un restaurant et chaque participant ayant contribué était invité à la table d'Aprés tir, une table des lots ou comme le veut l'esprit olympique pour y accéder, il ne fallait que participer.

 

 

Cette année c'était la dernière fois!

 

Plusieurs participants historiques nous ont quittés pour le paradis des amateurs d'arme et parmi les participants de cette dernière édition la majorité a déclaré qu'ils allaient réduire leur activité de tir et le nombre d'armes détenues. Dans cette logique et moi même je n'y échappe pas, il faut considérer le renouvellement d'une détention pour une arme de ce type comme un luxe.

 

 

Même seulement 20 € par renouvellement pour une arme qui en vaut 75 €!

 

C'est prohibitif! Bien que collectionneur agréé, j'avais conservé pratiquement toutes mes armes acquises sous détention pour pouvoir les utiliser librement dans les stands de tir que je fréquente. J'avais même conformément à l'esprit de la loi continué à demander des modèles 4 pour des armes conformes à l'esprit de ma collection, mais que je savais utiliser dans les stands. La réforme Onkelinx et sa taxe quinquennale m'obligent à considérer l'éventualité que cette mesure ne soit pas cassée par les recours en justice et en conséquence à trier mes armes pour ne conserver que celles avec lesquelles je pratique régulièrement le tir.

Pourquoi irais-je payer pour utiliser une arme une fois tout les deux ans!

Ma série de pistolets belge en est un parfait exemple, voilà des armes qui ne sortent que très occasionnellement du coffre, je pourrais aussi parler de mon FAL, j'adore tirer avec cette arme, mais par la force des choses lorsque je vais tirer, c'est plus souvent le M14 et la REM700S qui sont dans le sac, et comme on ne peut pas tout prendre et que les jours de tir sont limités. Puique ces armes entrent dans le cadre défini de ma collection elles vont y entrer de fait et par voie de conséquence ne plus sortir de l'armurerie ou si peu. En écrémant bien, en transférant une majorité de pièces sur mon agrément je devrais être capable de ne conserver que 10 armes sous détention.

 

 

10 arme cela risque quand même de me coûter entre 200 et 1000 € à chaque fois !


C'est lourd, très lourd, cela représente 200 €/an dans le meilleur des scénarios. Quelques dizaines de boîtes de munitions en moins dans le budget ou encore une inscription dans un stand de tir en moins. Il faut cependant souligner que je suis relativement privilégié puisque je dispose d'un agrément de collection et que cette somme pour douloureuse qu'elle soit, je la paierais pour poursuivre mon loisir. Mais il faut penser aux autres, à ceux qui n'auront pas la possibilité de mettre à l'abri une partie de leur bien. À ceux enfin pour qui ces euros du nouvel impôt made in Onkelinx seront le coût de trop qui les fera renoncer à leur loisir. Et encore faut-il lire les actuels documents de travail avec malveillance et y décrypter que même l'agrément de collection risque de devenir impayable par l'accumulation des contraintes qui vont y être liées.

Ce coût supplémentaire risque de faire renoncer certain à leur activité

Vous me direz c'est le but. Oui sauf qu'alors il faut avoir le courage d'appeler un chat un chat et ne pas prendre comme excuse la sécurité publique pour faire avancer ce genre de saloperie. Onkelinx a levé un impôt, un impôt sur les armes, un impôt sur nos loisirs, un impôt sur un loisir populaire. Il faut le dire haut et fort. Ensuite ou ira elle chercher davantage d'argent pour elle et la caste de parvenus qui nous dirigent, sur la gabegie des cartes d'identités électroniques,peut être sur un futur permis de conduire renouvelable et.... payant. Même sans être amateurs d'armes, il est plus que temps de mettre un terme à la rage taxatoire d'une certaine caste politique. Que l'on soit ou non amateur d'armes, le problème de droit que pose la création de cette loi et l'oubli ou le détournement de certains articles constitutionnels doit nous interpeller sur le genre de société que nous voulons voir demain prendre corps.

 

 

Onkelinx a levé un impôt sur un loisir populaire, c'est franchement très socialiste comme comportement!

 

Je me souviens des débats sans fin que représente chaque année l'ajustement du prix de l'affiliation à un club de tir. Certains clubs qui ne demandent que 40 € par an de cotisation craignaient que d'augmenter celle-ci de 10 % ne leur coûte des membres et voici un projet qui va ponctionner la poche du candidat tireur de minimum 20 € de plus. Ai-je raison de craindre que des clubs de tir aillent y perdre de nombreux membres? Déjà, il m'a été rapporté et j'ai moi-même pu le constater que certaines dames intervennaient activement dans la vente des jouets du mari. Quelle aubaine, le monsieur perd sa passion et devient plus disponible à la maison.

 

En quoi cette taxe est elle un gage de sécurité dans nos rues et pour nos enfants!

 

En rien évidement, mais c'est tellement plus facile de pondre ce genre de texte idiot que de réfléchir à modifier les lois qui autorisent la relaxe de vrais criminels déjà multirécidiviste, ces gens doivent avoir une chance (même plusieurs) de ce réinsérer, même au prix de quelques vies, ces gens ne doivent être traité avec respect... ce souci du respect n'est semble t 'il pas dû aux citoyens payeur, pas plus qu'a l'honnête homme qui possède des armes déclarées et enregistrées, lui va devoir payer, payer l'impôt, la taxe, payer en fait pour le crime d'un autre, payer pour le crime qu'il ne commet pas. Et alors qu'un criminel peut voir s'effacer son casier, pour l'amateur d'armes c'est désormais tout les cinq ans qu'il devra payer le droit de conserver ces biens. Cette façon de faire ne correspond en rien aux valeurs morales que notre société tient pour importante, ce que fait Onkelinx ici c'est un dénis de justice ou une prime à la criminalité. Et ce n'est pas les dernières péripéties en cour qui doit rassurer le citoyen sur l'échelle des valeurs qui sert de référence à la ministre

Bye, bye le tir gendarme!

Il rejoint au paradis des activités ludique le tir pistolet mitrailleur que nous organisions avant la réforme de 2001. Bien que tiré exclusivement et impérativement en coup/coup pour des raisons de sécurité et de nuisance sonore, ce tir qui rassemblait aussi une quarantaine de participants bon an, mal an a disparu, seul me reste quelques photographies et une tonne de souvenirs de tous ces gamins de 18 à 77 ans qui arrivaient avec des armes avec lesquels parfois ils n'avaient jamais tiré et qui repartaient contents d'avoir pus essayer une fois au moins leur arme dans de bonnes conditions de sécurité et encadré par des personnes qui avaient à coeur d'assurer la sécurité et la cordialité. Il n'y avait rien de plus dangereux ou de plus bizarre à tirer avec des armes de ce type qu'avec une arme de sport, la seule différence pouvait se lire dans les yeux des participants et si une personne peu me démontrer qu'entre 2001 et aujourd'hui cet interdit supplémentaire à sauvé une vie , une seule vie, je lui offre un verre.

 

 

Plus encore que l'aspect social, c'est cette perspective populaire que les lois tuent 


Car l'argent n'est pas tout, il faut aussi regarder les multiples contraintes et petites vexations multipliées à l'encontre du candidat amateur d'armes qui font qu'au final, comme plusieurs personnes me l'ont fait remarquer, la passion des armes n'est plus une passion plaisante et certains parmis ces personnes de renoncer à leurs hobbys, car la composante plaisir à presque totalement disparus. Ces gens qui nous quittent, qui quittent notre communauté, il ne faut pas les juger négativement, mais il faut nous en inquiéter, car petit à petit ces désertifications dans nos rangs causeront notre perte aussi certainement que la malveillance législative de l'un ou l'autre politicien en mal de projet.


Eric Blondieau, administrateur. pour la DAAA-AVWL

 

 

 

Scotland Yard en guerre contre les pistolets à eau !

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Jusqu'où la phobie des anti-armes va t'-elle être tolérée? Déjà voici deux mois, nos amis britanniques avaient été fermement invités à abandonner leurs belles lames et autre épée Klingon au nom de la sécurité publique. voici à présent la chasse aux pistolets à eau.

LONDRES, Traque aux terroristes oblige, les batailles d’eau, dénommées «Street Wars», ne sont plus tolérées dans les rues de la City.


D'aprés un article de PAUL RAW Publié le 31 juillet 2006

Les Anglais, c'est bien connu, sont friands de blague, cette petite musique humoristique dont Shakespeare et tant d'autres gloires littéraires ont joué des inépuisables nuances. La vie quotidienne en est imbibée, tant que cet humour ne se fait pas aux dépens d'autrui.

 

 

ARME Les pistolets à eau utilisés par les joueurs pourraient être pris pour des vrais et entraîner une confrontation avec des agents, selon Scotland Yard.

 

Les adeptes du jeu de combat urbain au pistolet à eau ont appris à leurs dépens les limites de la tolérance britannique. Les protagonistes de «Street Wars», déjà en vogue aux Etats-Unis, au Canada et en Autriche, ont été prévenus: Scotland Yard ne badine pas avec ce jeu de rôle organisé sur le web consistant à asperger des adversaires identifiés par leur photo et leur adresse. Pour remporter la compétition, il faut évité d'être «touché» au bout de trois semaines de duels.

Jeu dangereux!

 

«Les pistolets à eau utilisés par les joueurs pourraient être pris pour de vraies armes et engendrer des situations de panique pouvant entraîner une confrontation avec des agents en arme»: le communiqué de la police avertit les joueurs qu'ils pourraient être abattus par les tireurs d'élite du Yard déployés dans le métro et les lieux publics pour prévenir les attentats. Récemment, les hommes de la force «SO 19» ont blessé par balles un voyou qui avait brandi une réplique en plastique d'un revolver. Un an après les attentats dans les transports londoniens, qui avaient fait 56 morts dont les quatre kamikazes, les forces de sécurité sont plus que jamais en alerte. Les prises de position pro-américaines de Tony Blair dans la crise libanaise ont exacerbé la psychose aux attentats. Le Yard s'inquiète également de la possible panique de passagers dans le métro ou le train face à des pistolets à eau ressemblant à des armes réelles. Par ailleurs, les règles du jeu réclamant des participants qu'ils se couvrent le visage d'un foulard, à l'instar de terroristes, constituent un autre danger de méprise.

 

 

Peines de prison!

 

«Le réseau des transports publics n'est pas le lieu pour de telles activités», a insisté la police qui a laissé entendre que les auteurs d'infractions pourraient être condamnés à de sévères peines de prison.

A ces menaces, Ann, secrétaire de profession, fan de ce jeu de rôle, réplique: «Au moins cela rafraîchira les usagers des transports publics en cette période de canicule». Par précaution, elle a toutefois choisi un pistolet en plastique aux couleurs de l'arc-en-ciel, «symbole de la paix».

 

 

Peut on en rire, si on se rappelle qu'en 1996, ce pays votait la prohibition des armes à feu en réponse au massacre de Dunblane. Dix ans aprés, à cause d'un crétin à Anvers, la prohibition commence chez nous, sans dire son nom, dans dix ans .... ou en seront nous?


Eric Blondieau, administrateur. pour la DAAA-AVWL

 

 

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