L'ONU détruit des armes au Pakistan.

Rédigé par Eric Aucun commentaire
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De belles photographies selon l'opinion d'un anti arme!

 

 

 


La preuve que ce genre de programme fonctionne! Quel bonheur de voir aussi bien illustré le lien entre la présence d'arme et le niveau de violence.

 

 

Les gens qui sont opposés au droit des armes n'y connaissent la plupart du temps pas grand-chose!

 

C'est pourquoi ce genre de propagande fonctionne. Des images-chocs, quelques slogans et le peuple marche, il réclame des têtes et des responsables. Le même mécanisme, du simplisme, des slogans et le sentiment d'avoir cerné l'ampleur du problème et sa solution. C'est assez amusant à bien y réfléchir, de constater que les gens qui reprochent sans fin à G.W. Bush et au peuple américain leurs manques d'analyse des problèmes mondiaux et la caricature de "l'axe du mal" sont les mêmes qui en terme de lutte contre la criminalité ou du taux de suicide développent une rhétorique similaire composée de simplisme imbécile comme le traçage des armes ou encore la prohibition dans les pays occidentaux. En fait, l'antiaméricanisme, le pacifisme et l'altermondialisme sont des courants de pensée en façade très généreux, mais qui souvent sont dévoyés de leurs objectifs principaux. Des individus s'approprient l'image proprette de ces idées pour faire avancer dans l'ombre des idées beaucoup moins propres qui ont pour nom, totalitarisme, communisme, intégrisme. Dans cette perspective, l'opposition de ces mouvements à la détention privée légale d'armes s'explique beaucoup mieux, ce n'est pas de l'aveuglement, c'est un sordide calcul intéressé. 

 

 

 

Si la guerre d'Irak n'a pas éliminé le terrorisme, pourquoi croire que la prohibition des armes éliminera la violence?

 

Si aller s'enliser en Irak dans une guérilla à l'issue incertaine n'a pas résolu le problème du terrorisme mondial, on peut légitimement penser que la prohibition des armes détenues légalement par les particuliers à des fins de collection, de chasse, de tir ou de défense préconisée par les anti-armes ne sera pas plus une solution miracle. et même que le recourt à cette solution entraînera en fait un accroissement du marché illicite des armes avec le corollaire prévisible de cette augmentation, cad l'augmentation de la violence à l'encontre des particuliers.

 

 

Armes contre argent ou armes contre nourriture!

 


Ne nous leurrons pas pour obtenir ce genre de photographies l'ONU paye, elle rachète les armes à détruire. Combien? En fait, le prix est variable, il tourne généralement autour des 500 $ par arme. Des études qui prennent en compte le coût global de ce système estiment que le coût-vérité de l'opération en y incluant le salaire des fonctionnaires et les divers frais tournerait aux environs de 1200 $ par arme détruite.

 

1200 $ par arme détruite!

 

Les montants doivent nous interpeller à plus d'un titre. D'abord, parce qu'une fois de plus c'est notre argent, nos impôts qui sont ici encore très mal utilisés. L'ONU vis du subside de ces membres, les états nation qui y siègent, mais en fait très peu de pays sont en Régle de cotisation et même la plupart des pays du tiers monde ne cotisent pas ou de manière réduite vu leurs situations économiques. Bref à l'ONU comme bailleur, les conseilleurs et les décideurs sont rarement, voir jamais les payeurs. Ensuite, il faut analyser les photographies pour n'y apercevoir que de triste pétoire, pas d'arme moderne, pas d'arme collective. En fait, l'ONU dépense une fortune pour racheter des fonds de greniers ou des armes inutilisables. Il a même été démontré que certains trafiquants importaient des armes justes dans le but de revendre ces dernières aux agents de l'ONU et faire au passage un substantiel bénéfice. Il y a gros à parier qu'une partie au moins des fonds alloués par l'ONU pour détruire ces pétoires sera ensuite réaffecté au rachat d'armes de nouvelles générations.

 

1200 $, et nous, et nous, et nous.

 

Nous sommes en Belgique dans une logique prohibitionniste. Passons rapidement sur le fait que racheter des pétoires dans des pays en guerre ne semble pas résoudre le problème. Et interrogeons-nous. Pourquoi interdire les armes détenues légalement, par des particuliers en Belgique, serait cette solution miraculeuse? Je pense que personne ne doute de la réponse, c'est pourquoi nous allons nous attarder sur l'argent. Si l'ONU rachète 500 $ une pétoire rouillée qui en vaut..... 5 $, pourquoi madame Onkelinx et les élus de gauche veulent-ils organiser la confiscation des armes chez le citoyen belge sans l'indemniser? En effet, le système de la fameuse détention d'arme révisable dans le temps, entre 3 et 5 ans, ce n'est que ça, c'est en fait obliger l'amateur d'arme à se défaire de ces armes sans indemnité suite à la simple non-reconduction de son autorisation. Dans le cas d'un « sportif » c'est pareil, plus de sport équivaudra à plus de détention donc obligation de se défaire de l'arme.

 

Pourquoi faire moins ?

 

Je n'ai pas l'intention d'encore expliquer le bien-fondé ou l'absence de fondement de la décision de désarmer les citoyens. Nous avons déjà sur ce site largement démontré que les justifications d'un désarmement des citoyens reposaient sur du vent ou sur une interprétation fallacieuse des chiffres statistiques. Ici, en regard des sommes dépensées par l'ONU, on demande que le principe d'indemnisation prévu par la loi ne soit pas vidé de son sens et pour le cas où cette loi serait réformée que ce principe ne soit pas « oublié ». Si les partis de gauche ont l'intention de poursuivre leur utopie en matière de désarmement, qu'ils aient au moins l'honnêteté de ne pas en plus organiser le vol de biens légitimement acquit. Les armes qui seraient jugées non conformes en vertu de la nouvelle loi, si d'aventure celle-ci venait à passer devront être remboursées à la hauteur de leur valeur réelle. Toute autre méthode de calcul ou d'obligation relèverait plus de l'escroquerie que de la recherche du juste compromis. À charge pour l'état belge de trouver les sous pour indemniser les gens qui seront victimes du zèle législatif implémenté par une minorité d'activistes mandatés par des instances supranationale.

 


Eric Blondieau, administrateur. pour la DAAA-AVWL

 

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