La gauche comme de coutume.

Rédigé par Eric 4 commentaires
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Cet extrait d'article montre la sortie d'un homme politique Suisse sur la détention d'armes à feu, réagissant à la publication d'une "étude" recommandant une diminution du droit des propriétaires d'armes et même des miliciens à encore détenir leurs armes chez eux.

Arme de service à domicile: Samuel Schmid défend le principe

Samuel Schmid estime que les soldats suisses doivent continuer à pouvoir amener leur arme de service à domicile. Malgré un taux de suicide élevé avec les armes à feu en Suisse, le ministre de la défense ne souhaite pas changer la pratique en vigueur.

L'armée n'est pas responsable des maux de la société, a déclaré M. Schmid dans un entretien publié dans le "Tages-Anzeiger". Le nombre élevé de suicides enregistré doit se combattre à la racine: au bout du compte, chaque membre de la société porte une part de responsabilité, selon lui.

Le conseiller fédéral réagissait à une étude de l'Université de Zurich publiée mardi, selon laquelle chaque jour, une personne met volontairement fin à ses jours avec une arme à feu en Suisse. Pour les auteurs de l'étude, ce bilan pourrait être amélioré si l'on mettait en place des règles plus strictes en matière de détention d'armes.

Le conseil fédéral va prendre connaissance de l'étude et la confronter avec les données internes de l'armée, a indiqué M. Schmid. Pour le gouvernement, il est important, dans la mesure du possible, de lutter contre la mauvaise utilisation des armes dans les domaines civils et militaires.

L'entreposage des armes ne permettrait pas de résoudre le problème du suicide, selon de chef du Département fédéral de la Défense. Un homme suicidaire n'a pas malheureusement besoin de son arme de service pour se donner la mort, a-t-il expliqué.

Non cantonnée dans des casernes, l'armée de milice ne peut pas être engagée immédiatement si la situation sécuritaire l'exige, a-t-il encore rappelé. En cas de dégradation, il est important que le soldat de milice puisse rapidement accéder à son arme, afin d'être le plus rapidement possible opérationnel.

La Suisse compte deux millions d'armes à feu en circulation. Amnesty International, la gauche et des spécialistes de la prévention du suicide et de la violence souhaitent que la révision en cours de la loi sur les armes prenne un tour plus sévère. 

Cet article illustre que le combat pour nos droits est un combat internationnale autant que nationale et pour ceux qui maitrise l'anglais , je ne saurais trop leur recommander de lire ou de relire le livre de W. Lapierre "the global war on your guns!" Ben Laden et les Islamistes ne sont pas la seule menace qui pèse sur notre qualité de vie, la vision gauchiste de ce que devrait être le rapport de l'hommos occidentalus à l'état est tout aussi inquiétant.

Eric

 

 

4 commentaires

#1  - Jacques a dit :

Il est de plus en plus patent que le grand mouvement de désarmement du citoyen par les dirigeants politiques, nationaux et supra-nationaux, prend de l'ampleur et que les lobbies sont d'une extrême puissance et opiniâtreté. Leur but c'est la mise en place d'une gouvernance mondiale débarrassée des lourdeurs des systèmes démocratiques, instituant un rapport d'expert dominant - citoyen dominé entre une caste politique et la masse. Dans ce contexte, cette masse doit être la plus maîtrisable possible, d'où -notamment- ce fameux désarmement. Le texte de notre loi Onkelinx montre bien à l'analyse que le but de faire baisser la criminalité et de diminuer l'insécurité et le sentiment d'insécurité, est complètement laissé de côté (l'insécurité est en fait "partenaire" du projet de renforcement de la souveraineté étatique et supra nationale) au profit de mécanismes encore pudiquement déguisés de recensement pour confiscation. Un jour, seul le marché noir, impossible à endiguer, et de plus en plus florissant, permettra aux citoyens d'être armé.
La Suisse est un noyau de résistance parce que la responsabilité de tous les citoyens dans la défense de leur pays, de leur liberté, est très ancrée; chez nous, elle a été depuis longtemps spus-traitée et confiée à l'Etat, qui pourra laors en disposer comme bon lui semble. En défendant notre droit en tant que belge à pouvoir détenir une arme parce que c'est un droit, on défend aussi l'aliénation du système de démocratie que la caste politique tente d'amoindrir petit pas par petit pas...

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#2  - Invité a dit :

En Suisse, malgré le nombre très élevé d'armes et de munitions chez les particuliers, l'utilisation d'une arme à feu (ou d'explosif) ne représente que ± 21% des moyens utilisés...Comme quoi là bas aussi, quand quelqu'un a décidé de se suicider, cen'est pas l'absence d'une arme à feu à disposition qui va empêcher de mettre à exécution sa funeste décision.

Comme d'autres, l'argument du suicide est un faux argument, utilisé de façon complètement biaisé par le lobby anti-armes, mais qui peut cependant bien passer dans l'opinion publique non informée des statistiques réelles en la matière.

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#3  - Invité a dit :

Du temps où Laurette, criait sur tous les toits, avec l’appui du GRIP qu’il y avait 300 morts par arme à feu en Belgique par an. J’ai été fouiller dans les statistiques nationales publiées sur le net.

Parmis ces 300 morts, il y a 75% de suicide.
et
Il y a en Belgique 1.200 suicides par an.

Alors son argument ?????

Jean-Philippe

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#4  - Invité a dit :

Selon un article récent paru dans la DH, il y aurait 2500 suicides par an en Belgique! La disparité des chiffres montre qu'ne Belgique quand on veut maintenir une nébuleuse sur une réalité-qui-n'arrange-pas-le-gouvernement, on sait y faire!

Donc alors, environ 1 suicide sur dix srait commis en Belgique avec une arme des 2.000.000 d'armes à feu en circulation; il reste les 9 autres...L'argument que la règlementation sur les armes ne va rien apporter à la problématique du suicide est très fort, dès lors qu'il est un tant soit peu approfondi. Ce que ne font pas les manipulateurs d'opinion publique qui nous gouvernent!

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