La gauche comme de coutume.
Cet extrait d'article montre la sortie d'un homme politique Suisse sur la détention d'armes à feu, réagissant à la publication d'une "étude" recommandant une diminution du droit des propriétaires d'armes et même des miliciens à encore détenir leurs armes chez eux.
Arme de service à domicile: Samuel Schmid défend le principe
Samuel Schmid estime que les soldats suisses doivent continuer à pouvoir amener leur arme de service à domicile. Malgré un taux de suicide élevé avec les armes à feu en Suisse, le ministre de la défense ne souhaite pas changer la pratique en vigueur.
L'armée n'est pas responsable des maux de la société, a déclaré M. Schmid dans un entretien publié dans le "Tages-Anzeiger". Le nombre élevé de suicides enregistré doit se combattre à la racine: au bout du compte, chaque membre de la société porte une part de responsabilité, selon lui.
Le conseiller fédéral réagissait à une étude de l'Université de Zurich publiée mardi, selon laquelle chaque jour, une personne met volontairement fin à ses jours avec une arme à feu en Suisse. Pour les auteurs de l'étude, ce bilan pourrait être amélioré si l'on mettait en place des règles plus strictes en matière de détention d'armes.
Le conseil fédéral va prendre connaissance de l'étude et la confronter avec les données internes de l'armée, a indiqué M. Schmid. Pour le gouvernement, il est important, dans la mesure du possible, de lutter contre la mauvaise utilisation des armes dans les domaines civils et militaires.
L'entreposage des armes ne permettrait pas de résoudre le problème du suicide, selon de chef du Département fédéral de la Défense. Un homme suicidaire n'a pas malheureusement besoin de son arme de service pour se donner la mort, a-t-il expliqué.
Non cantonnée dans des casernes, l'armée de milice ne peut pas être engagée immédiatement si la situation sécuritaire l'exige, a-t-il encore rappelé. En cas de dégradation, il est important que le soldat de milice puisse rapidement accéder à son arme, afin d'être le plus rapidement possible opérationnel.
La Suisse compte deux millions d'armes à feu en circulation. Amnesty International, la gauche et des spécialistes de la prévention du suicide et de la violence souhaitent que la révision en cours de la loi sur les armes prenne un tour plus sévère.
Cet article illustre que le combat pour nos droits est un combat internationnale autant que nationale et pour ceux qui maitrise l'anglais , je ne saurais trop leur recommander de lire ou de relire le livre de W. Lapierre "the global war on your guns!" Ben Laden et les Islamistes ne sont pas la seule menace qui pèse sur notre qualité de vie, la vision gauchiste de ce que devrait être le rapport de l'hommos occidentalus à l'état est tout aussi inquiétant.
Eric